• (Julie et Ludovic Rodo peints par Camille Pissarro)

    Plusieurs descendants de Camille Pissarro et de Julie ont choisi de suivre l'exemple de leur aïeul et de devenir peintres à leur tour.

    Ses enfants :

    Lucien Pissarro (1863-1944),

    Georges Henri Pissarro (dit Manzana, 1871-1961),

    Félix Pissarro (1874-1897),

    Ludovic Rodo Pissarro (1878-1952)

    Paul-Émile Pissarro (dit Paulémile, 1884-1972).

    NB :Jeanne Pissarro(1881-1948 ne peignit pas mais fut la mère de peintres


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  • (Julie cousant peinte par Camille)

    Les petits-enfants de Camille et Julie furent peintres également :

    Orovida Camille Pissarro (1893-1968), fille de Lucien

    Hugues Claude Pissarro (né en 1935)fils de Paul-Emile

    Yvon Pissarro (1937 ) fils de Paul-Émile,

    J Henri Bonin-Pissarro dit BOPI(1918-2003) fils de Jeanne

    Claude Bonin-Pissarro né en 1921,fils de Jeanne


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  • (Julie cousant peinte par Camille)

    Certains des arrière-petits-enfants de Julie et Camille Pissarro sont peintres eux aussi…


    Lélia Pissarro (née en 1963), fille de Hugues Claude.

    Frédéric Bonin-Pissarro( né en 1964),fils de Claude Bonin-Pissaro..

    C'est par ce dernier que Jenry Camus a pu obtenir des documents exclusifs pour son exposition...

    Exposition qui s'annonce passionnante,pour qui aime la peinture et...le Châtillonnais !



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  • Quelques toiles de Pissarro...


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  • (le portrait de Camille Pissarro par Henri Labasque)

    Une très belle exposition sur une Châtillonnaise méconnue,JULIE VELLAY,est actuellement en préparation à Essarois par un fidèle "Ami du Châtillonnais":Jenry Camus..

    Elle sera visible les 15,16 et 17 Août,salle Victorine de Chastenay.

    J'ai pensé qu'il serait bon de vous parler ,succintement,du mari de Julie Vellay,le merveilleux peintre:

    Camille Pissarro

    Né aux Antilles, Camille Pissarro part faire ses études à Paris, puis fuit en 1853 au Vénézuela pour pouvoir se consacrer à la peinture avant de revenir vivre à Paris en 1855.

    Il y rencontre Claude Monet et peint alors surtout des paysages tropicaux et des études de plein air dans les environs de Paris, sous l’influence de Corot et de Courbet, dont il reprend les compositions fermes et les contrastes vigoureux.

    En 1866 il s’installe à Pontoise, puis à Louveciennes, où il représente le paysage environnant, avec une prédilection pour les routes, avant de se réfugier à Londres en 1870 où il découvre les paysagistes anglais, notamment Constable.

    De retour en France, il s’aperçoit que la plupart des œuvres entreposées chez lui ont été détruites : obligé à repenser son style, il débute alors une période de travail féconde, de maturité, guidée par les mêmes recherches que ses amis impressionnistes, avec lesquels il expose.

    Des différences profondes le séparent pourtant des impressionnistes :

    S’il s’intéresse parfois à l’étude des reflets de l’eau, Pissarro s’attarde surtout sur l’aspect changeant du sol et de la nature, peints dans une riche gamme de couleurs à base de bruns, de verts et de rouges, avec une grande précision d’observation, une magistrale fermeté d’exécution et de composition qui influencent Cézanne et Gauguin.


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  • En 1884, Pissarro, toujours curieux, fait la connaissance de Signac et de Seurat, et est séduit par leurs nouvelles méthodes :

    il commence à peindre des toiles pointillistes, mais celles-ci ne rencontrent pas le succès.

    Le peintre abandonne le divisionnisme et reprend son ancienne manière, qui s’en trouve enrichie.

    Dans les années 1890, à l’instar de Monet, Pissarro se spécialise dans les séries exécutées d’après un même motif, généralement urbain, dans des vues plongeantes sur les rues les plus fréquentées de Paris.

    Mais la grande différence avec les séries de Monet est que le peintre varie les points de vue, et emploie une gamme de couleurs plus subtile et plus riche.

    Dans quelques jours,je vous parlerai de l'héroîne de cette exposition Julie Vellay...
    Toute chose en son temps !


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