• Un village châtillonnais et ses écarts : Voulaines-les-Templiers

    VOULAINES-LES-TEMPLIERS

    1076-1100 Villenae

    1175 Wullenae ou Willanae

    1180 Villanae, villa fratrum templi

    1188 Vullanae

    1198 Vullaniae

    1207 Volegnes

    1208 Volegniae

    1209 Vouleines

    1210 Volleniae

    1225 Villenniae

    1255 Volaines

    1271 Vouloignes

    1301Vouleignes

    1323 Villoymes les Templiers ou Vollaniae

    1325 Vollaniae Templariorum

    1330 Vellaniae Tempariorum

    1371 Voloismes ou Voullaines les Templiers ou Vouloines les Templiers

    1372 Voulenes

    1376 Voulones ou Voullainnes les Templiers

    Vers 1380 Vouloignes

    1391 Voulennes les Trampliers

    1395 Vouloingnes les Tampliers puis Vollaines ou Vollanae

    1405 Vouloinnes

    1410 Voulaines les Templiers

    1423 Voulennes les Templiers

    1460 Volennes les Templiers

    1496 Vouloines

    1511 Vollennes les Templyers

    1567 Voulennes

    1574 Volaines les Templiers

    1577 Vouleinnes

    1589 Volaines

    1635 Voullaine

    1657 Vollaine les Templiers

    1684 Volaine

    1740 Volloyme

    1742 Voulaine

    1783 Voulaine-les-Temples ou Volaine-les-Temples

    Fin du 18ème siècle  Voulaines-les-Temples puis Voulaines-sur-Ource (1793)

    (Origine des sources principales consultées et citées  par A.Roserot : J.Laurent,I. Commanderies de Bure et d’Epailly. Chartreuse de Lugny. Archives de la Côte d’Or. Longnon, Pouillés. La Maladière de Dijon. Montmorot. Garnier. Archives nationales. Nouvel état général de 1783. Cassini. Dumay : géographie, N°87)

    Ancienne commanderie des Templiers, devenue sous les Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, chef-lieu de leur Grand-Prieuré de Champagne, dont dépendaient les chambres priorales de Bure, d’Epailly et de Morment.

    La seigneurie du lieu appartint successivement aux Templiers, puis aux Hospitaliers.

    En 1789 le bourg dépendait de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne.

    Son église, sous le vocable de la Nativité de la Sainte-Vierge, était le siège d’une cure du diocèse de Langres, doyenné de Châtillon, à la présentation du Grand-Prieur de Champagne.

    Pendant la période intermédiaire, Voulaines fit partie du canton de Vanvey-sur-Ource (A.Roserot 1924)

    LES ÉCARTS

    -Barrière du Grand-Fond 1km à l’ouest 0 feu 0 habitant (Insee 1951)

    -Barrière de Grand-Pont 0,5km au sud-ouest 1 feu 5 habitants (Insee 1951)

    -La Chapelle au Bois, ferme 1km au sud-ouest 1 feu 4 habitants (Insee 1951)

    A.Roserot écrit La chapelle-du-Bois

    Ancienne possession de Saint-Etienne de Dijon achetée par le duc de Bourgogne en 1254 et par la chartreuse de Lugny en 1376

    1124 Capella que est inter Leuglerium et Sanctum Fodolum puis Fratres loci qui dicitur Capelle

    1254 Domus nostra que vocatur Capella que sita est juxta forestam dicti domini ducis de Villers

    1255 Capella que fuit ecclesie S.Stephani Dyvionensis

    1376 Nostre maison appellée la Chapelle emprès Voulaines-les-Templiers

    1410 une chapelle avec ses appartenances, assise à l’entrée de nostre forest de Villers le Duc, devers Voulaines les Templiers

    1491 Certain dévot lieu et chapelle, situé près de Voulainnes les Templiers, nommé la Chappelle du Bois

    1520 La chappelle Nostre-Dame du Bois

    1635 La granche de la Chapelle des Bois

    (Origine des sources principales consultées et citées par A roserot : Archives de la Côte d’Or. Commanderie de Bure. Chartreuse de Lugny : charte du duc Philippe-le-Hardi)

    -La Forge, usine (pouillé de l’Horme)

    -La Grenouille, maison fortifiée (A.Roserot 1924)

    -La Saboterie, usine, ancienne forge (Garnier)

    -Le Battoir, usine de Voulaines (A.Roserot 1924)

    -L’Etang du Roi, ferme et ancien étang, 3km au sud-sud-est.2 feux 14 habitants (Insee 1951)

    C’était une ancienne possession  du duc de Bourgogne , puis du roi.

    1352 L’estang de Valmarceul

    1353 Estang de Vaul Marceaul

    1370-1373  L’estan de Vaulmarcel

    1539  L’estang de Vaulx Marceaulx

    1740 L’étang du Roy, de Vaux Marceau, scitué entre les finages du village d’Essarois en Bourgogne et celuy du village de Vollayne

    1742 L’étang du Roy, de Vaumarceau

    1750 L’étang de Vaumarceau

    (Origine des sources principales consultées et citées par A.Roserot : Archives de la Côte d’Or. Prost : inventaire,I. Archives nationales. Chartreuse de Lugny, plans)

    -Le Four, lieu-dit (A.Roserot 1924)

    -Le Fourneau, écart (A.Roserot 1924)

    Vers 1770 Fourneau à fonte (pouillé de l’Horme)

    -Le Gros-Moulin, moulin (Garnier)

    -Le Grand-Fond, ferme 1km à l’ouest, 1 feu, 7 habitants (Insee 1951)

    -Le Tertre, hameau (A.Roserot 1924)

    -Moulin de Seroing, 1km au sud, 1 feu, 3 habitants (Insee 1951)

    Alphonse Roserot écrit Seroin

    AUTRES LIEUX

    -Chauchier, fontaine (A.Roserot 1924)

    -Les Tares , fontaine (Garnier)

    -Vaumartin, fontaine (Garnier)

     

     


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  • Un village Châtillonnais et ses écarts : Terrefondrée

    TERREFONDRÉE

    1219 Terra Effundrata

    1224 Terra Fundrea

    1225 Terre Effondrée

    1233 Terra Fundrata

    1295 Terre Enfondrée

    1300 Terre Fondrée

    1376 Terrefondrée

    (Origine des sources principales consultées et citées par A.Roserot : Commanderie de Bure. Archives de la Côte d’Or)

    Ancienne possession des Templiers de Bure, puis des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.

    En 1789, le bourg dépendait de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne. Son église, sous le vocable de Notre-Dame, était succursale de celle de Bure (A.Roserot 1924)

    LES ÉCARTS

    -Chatellenot, hameau 5km au sud-ouest 5 feux 24 habitants (Insee 1951).

    C’était une ancienne possession  du Temple de Bure et de l’abbaye de Molesme.

    1189 Castoyllenoth prope Buras

    1195 Chestellonet ou Chesteillenet ou Chesteillonet

    1240 Chatillonet

    1253 Castellionetum

    1295 Chestellonet ou Chestillenet

    1301 Chastoillenet

    1317 Chastellenet

    1371 Chastoillonnot

    1376 Chasteillenot

    1465 Chastellenot

    1670 Chatoillenot

    18ème siècle Chastellenod puis Chatellenot (1783)

    (Origine des sources principales consultées et citées par A.Roserot : Commanderie de Bure. Abbaye de Molesme. Archives de la Côte d’Or. Cassini.Nouvel état général de 1783)

    -La Forêt, hameau 2km au nord-nord-ouest 16 feux 47 habitants (Insee 1951)

    Cet écart  était plus peuplé que la commune de Terrefondrée.

    1295 La Forest (Commanderie de Bure)

    1301 Foresta

    1376 La Fourest

    1391 La Foiret

    1423 Laforest (Archives de la Côte d’Or)

    1646 Lafforest (Garnier)

    1783 La Forêt (Nouvel état général)

    C’était une ancienne possession  des Templiers de Bure où il y avait une chapelle sous le vocable de saint Louis (Courtépée)

    -Le Moulin de Chatellenot 7km à l’ouest-sud-ouest 1 feu 5 habitants (Insee 1951)

    -Maison Naudet, écart, commune de Terrefondrée (Garnier)

    -Saint-Cyr, chapelle détruite, commune de Terrefondrée à Chatellenot (Courtépée)

    AUTRES LIEUX

    -Châteaubeau, canton de bois dans la forêt de Châtellenot (A.Roserot 1924)

    1869 Châtoilbo ou Chatabo (Garnier)

    1882 Châteaubeau (Direction générale des Forêts)

    -La Douix, fontaine, commune de Terrefondrée (Garnier, cité par A.Roserot 1924)

    -Saint-Louis Chapelle (A.Roserot 1924)

     


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  • Un village châtillonnais et ses écarts : Saint-Broing-les-Moines

    SAINT-BROING-LES-MOINES

    1076-1100 Sanctus Benignus

    1101 Sanctus Benignus de Bosco

    1136 Sanctus Benignus de Busco

    1230 Sanctus Benignus in Bosco ou Sainbérain

    1235 Seint Bereyn

    Vers 1240 Seint Berein

    1264 Sanctus Benignus juxta Migno

    1273 Sanctus Benignus ad Monachos

    1344 Saint Baroing les Moignes

    1358 Sanctus Benignus Monachorum

    1371 Saint Berain

    1376 Sainct Beroing les Moinnes

    1391 Saint Beroing

    1547 Sainct Beroing les Moignes

    1564 Sainct Beroin ou Sainct Beroing les Moinnes

    1571 Sainct Beroing aux Moynes

    1575 Sainct Beroing les Moynes

    1603 Sainct Berouin

    1643 Saint Berain aux Moines

    1657 Sainct Beroin en Moiteron

    1661 Saint Beroin

    1670 Saint Beroing les Moines

    1698 Saint Beroing

    1783 Saint Beroin les Moines

    Fin du 18ème siècle  Saint Broing les Moines ou Saint Brouhin en 1792, ou Saint-Broing-les-Roches ou Broing-les-Roches  ou Broing-les-Roches en 1793

    1884 Saint-Broin-les-Roches ou les Moines

    1905 Saint-Broing-les-Moines

    En parler local : Saint-Braingne

    En 1789, le bourg dépendait de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne.

    Son église, qui avait pour premier patron saint Bénigne et, pour second patron saint Laurent, était le siège d’une cure du diocèse de Dijon, doyenné de Minot, antérieurement du doyenné de Selongey et, avant 1731 du diocèse de Langres, doyenné de Grancey, à la présentation de l’abbé de Molesme ou du prieur du dit Saint-Broing.

    Le prieuré qui dépendait de Molesme, avait aussi la seigneurie.

    Pendant la période intermédiaire, Saint-Broing fit partie du canton de Minot (A.Roserot 1924)

    (Origine  des sources principales consultées et citées par A.Roserot : J.Laurent, I. Abbaye de Molesme. Abbaye de Bèze. Saint-Bénigne.  Archives de la Côte d’Or.  Archives nationales.  Archives de l’Aube : Clairvaux.  Prieuré de Saint-Broing.  Nouvel état général de 1783. Cassini. Dumay : géographie, n°42.  Dictionnaire des Postes)

     LES ÉCARTS

    -Bois de Bagny (A.Roserot 1924)

    -La Bergerie, ferme 1,5km au sud 1 feu 9 habitants (Insee 1951)

    1635 la granche de la Bergerie (Archives de la Côte d’Or)

    -Le Four, lieu-dit (A.Roserot 1924)

    -Le Moulin 1km au nord-est 1 feu 7 habitants (Insee 1951)

    -Villarnon, ferme 3,5km au nord-ouest 0 feu 0 habitant (Insee 1951)

    Roserot écrit : Villarnon, mieux Villarnoul (1924)

    Ancienne grange du prieuré de Saint-Broing-les-Moines

    1300 Ville Arnol

    1564 Villernout

    1574 Villernoul

    1635 Villernou

    1783 Villarnon

    Fin du 18ème siècle  Vilarnon ou Villarnon ou Vil-Jarnon ou Vaux-Jarnon

    (Origines des sources principales consultées et citées par A.Roserot : Archives de la Côte d’Or. Archives nationales. Nouvel état général de 1783. Cassini. Courtépée.)

    AUTRES LIEUX

    -Roche des Chapelles, bois (A.Roserot 1924)

    -Sarcy, forêt domaniale (A.Roserot 1924)


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  • Un village châtillonnais et ses écarts : Recey-sur-Ource

    RECEY-SUR-OURCE

    1177 Rusei

    1201 Rucé

    1211 Riciacum ou Ruceium

    1233 Receium

    1257 Recé

    1296 Receyum

    1301 Recey

    Fin du 14ème siècle Rexeyum

    1481 Rissey ou Reixey

    1574 Recey sur Orce

    1635 Recey sur Ource

    (Origine des sources principales consultées et cutées par A Roserot ; Cartulaire de Lugny. Commanderie de Bure. Abbaye d’Auberive. Archives de la Côte d’Or.Longnon : Pouillés. Saint-Bénigne)

    En 1789, le bourg dépendait de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne.

    Son église, sous le vocable de saint Rémi, était le siège d’une cure de Langres, doyenné de Châtillon sur Seine, à la seule collation de l’évêque.

    La seigneurie appartenait à la chartreuse de Lugny, sauf une rue du village qui était au Grand-Prieuré de Champagne.

    Pendant la période intermédiaire, Recey fut chef-lieu d’un canton qui, antérieurement à l’an IV (1795-1796) dépendait du district de Châtillon (A Roserot 1924)

     LES ÉCARTS

     -Barrière Drouot, 1km au sud-sud-est 1 feu, 8 habitants (Insee 1951)

    -Barrière Marlet , 2km au nord-ouest 1 feu, 2 habitants (Insee 1951)

    -Barrière Montendon, 2km au sud-est 1 feu, 6 habitants (Insee 1951)

    -Barrière Paris, 2,5km au nord-ouest 1 feu, 1 habitant (Insee 1951)

    -Ferme du Mont de Lucey, 2,5km au nord 1 feu, 9 habitants (Insee 1951)

    Selon A Roserot : le Mont, ou Chatel, lieu détruit

    -Jours, ancien nom d’une partie de la seigneurie de Recey-sur-Ource (Arbaumont, Ban)

    -La Carrière, chapelle détruite (A Roserot 1924)

    -La Creuse, ferme 3km au sud-sud-ouest, 1 feu, 5 habitants (Insee 1951)

    1783 Greuse

    Fin du 18ème siècle Creuse (Cassini)

    -La Filature, usine (A roserot 1924)

    -La Guette, ferme, 1,5km au sud-ouest 1 feu 6 habitants ((Insee 1951)

    1646 : métairie de la Guette.

    Ancienne grange de la chartreuse de Lugny (Courtépée)

    -La Maladière, lieu-dit (A Roserot 1924)

    -La Pierre-Tournante, lieu-dit (A Roserot 1924)

    -La Scierie (Garnier)

    -Le Châtel, lieu-dit, situé dans un bois (Courtépée)

    A Roserot écrit : le Mont, ou Chatel, lieu détruit (1924)

    -Le Four, lieu-dit (A roserot 1924)

    -Le Mont-de-Lucey, ferme (A Roserot 1924)

    -Les Tertres, lieu-dit (A Roserot 1924)

    -Maigemont, ferme détruite (A Roserot 1924)

    1350  « graangia sita in villa de receyo, in loco En Maigemont » (chartreuse de Lugny)

     AUTRES  LIEUX

    -Foiseul, bois et substructions (A Roserot 1924)

    1211 Faisuel (Chartreuse de Lugny)

    1352 « la rivière de Maisey, bannal dès le molin de Villotte jusques à l’endroit dou bois Foisieu »

    1353 Bois de Foisieu

    1355 Faisieul (Archives de la Côte d’Or)

    -Jares, fontaine (Garnier)

    -La Fontaine-Rose,  fontaine (Garnier)

    -Le Burot, ruisseau  qui coule au territoire de Recey-sur-Ource (Garnier)

    -Les Fontenilles, ruisseau sillonnant les communes de Recey-sur-Ource et de Faverolles , qui se jette dans  celui de Coupe-Charme (A Roserot 1924)

    1211 Fantanillae (Chartreuse de Lugny)

    19ème siècle : Fontenille (Intérieur)

    -Les Pierges, montagne et bois (A Roserot 1924)

    1695 bois des Pierges (Abbaye de Lugny), ancienne possession des Chartreux de Lugny. Aurait été encore , en 1790, un lieu habité (Garnier)

     


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  • Un village châtillonnais et ses écarts : Montmoyen

    MONTMOYEN

    1173 Monmoien

    1197 Mons Medius

    1220 Munmoien

    1366 Montmeien

    1371 Montmoyens

    1372 Montmiem ou Montmien ou Montmeiem

    1423 Montmoyen

    1481 Montmoen

    1564 Momoyen ou Monmoyen

    (Origine des sources principales consultées et citées par A Roserot : Abbaye Notre-Dame de Châtillon. Commanderie de Bure. Archives de la Côte d’Or. Montmorot. Saint-Bénigne.  Archives nationales)

     Sa maison-forte est citée dès 1372. En 1789, le bourg dépendait de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne.

    Son église, sous le vocable de saint Valier, puis de Notre-Dame et enfin de saint Claude, était le siège d’une cure du diocèse de Dijon, doyenné de Minot et, auparavant de Selongey, avant 1731, elle était du diocèse de Langres, doyenné de Grancey.

    Elle fut d’abord une succursale de l’église d’Essarois.

    L’évêque en était le seul collateur.

    Pendant la période intermédiaire, Montmoyen fit partie du canton d’Aignay-le-Duc (A Roserot 1924)

    LES ÉCARTS

    -Charmoille, hameau (A Roserot 1924)

    -Grand-Bois,  ancien fief (Arbaumont, Ban)

    -Hierce,  hameau 2km à l’ouest-sud-ouest, 4 feux, 14 habitants (Insee 1951)

    Ancienne grange de l’abbaye de Longuay, avec chapelle Saint-Julien, puis fief

    1177 Finagium quod Hirces dicitue

    1301 Irces

    1315 Yrce

    1565 « la grange d’Hierce que souloient tenir les vénérables abbés et couvent de Longuay »

    1635 Granche d’Ierse

    1669 Yerre

    18ème siècle grange d’Yerce (Cassini) ou Hierces

    (Origine des sources principales et citées par A Roserot : E.Petit, II, d’après un cartulaire de Longuay. Garnier. Archives de la Côte d’Or. Abbaye de Longuay (Haute-Marne). Cassini.Courtépée)

    -La Forge, lieu détruit (A Roserot 1924)

    -Le Vaa, hameau (A Roserot 1924)

    -Les Closeaux, lieu détruit, commune de Montmoyen. Il y subsiste des vestiges de forteresse (Garnier)

    18ème siècle : Les Cloiseaux (Courtépée)

    -Maison des Barthélémy, commune de Montmoyen (A Roserot 1924)

     AUTRES LIEUX

     -Daugez, fontaine commune de Montmoyen (Garnier)

    -La Pierre-qui-Corne, bois (A Roserot 1924)

    -Les Champs-Rouges, montagne (A Roserot 1924)

    -Vargille, fontaine (Garnier)


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  • Un village châtillonnais et ses écarts : Menesble

    MENESBLE

    En parler local M’néve ou M’nêvre

    1178 Radulfus de Minervis

    1186 Menelves

    1189 Radulfus de Minelves

    1195 Radulfus de Menervis

    1208 Menevles

    1254 Mennevles

    1277 Jehans de Menevres

    1295 Mennebles

    1305 Menyeuvles

    1371 Menièbles ou Menebles

    1388 Menevbles

    1399 Menesbles

    1635 Monaible

    1957 Menèble

    1695 Menesble

    1783 Menéble

    (Origine des sources principales consultées et citées par A Roserot : Abbaye d’Oigny. Abbaye d’Auberive.Commanderie de Bure. Cartulaire de Lugny. Archives de la Côte d’Or. Dom Plancher. Montmorot. Garnier. Nouvel état général de 1783)

    Selon Courtépée, c’était une seigneurie de la chartreuse de Lugny depuis 1694.

    En 1789 le bourg dépendait de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne.

    Son église, sous le vocable de saint Vinard, était succursale de celle de Recey-sur-Ource (A. Roserot 1924)

    LES ÉCARTS

    -Le Moulin 1km au sud-est, 2 feux, 10 habitants (Insee 1951)


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