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La Compagnie "le Grand jeté" a présenté, au TGB, un extrait de son futur spectacle "L'hypothèse de la chute"
Catherine Miraton la Directrice du Théâtre Gaston Bernard a invité tous ceux et celles qui aiment la danse à une répétition de "L'hypothèse de la chute" l'après-midi du jeudi 29 juin 2017.
Elle nous a présenté Frédéric Cellé , le chorégraphe.
Frédéric Cellé est un chorégraphe qui a développé un répertoire riche et varié, composé de plusieurs pièces créées pour l’espace public et les théâtres.
Sa Compagnie "Le grand jeté" est basée à Cluny en Saône et Loire, elle est subventionnée par la DRAC de Bourgogne Franche Comté.
Frédéric Cellé et ses danseurs ont été en résidence au Théâtre Gaston Bernard en ce mois de juin 2017, pour mettre au point la chorégraphie du nouveau spectacle de la compagnie, début prévu en automne 2017.
La danse de Frédéric Cellé est technique et puissante à la fois : intensité physique, énergique, puissante, charnelle, passionnelle, généreuse, poétique, spatiale, faite de gestes qui emmènent dans l’émotion.
Le chorégraphe aime les grands sauts, les roulades, les jetés de corps dans l’air, les propulsions de soi dans l’espace, les balancés, les courses. La lutte est un fondement de sa danse comme il est un fondement de son imaginaire : la lutte pour se sentir vivant, pour survivre dans ce monde, pour s’imposer, la lutte dans un combat contre le temps, pour des aspirations positives.
Quelques photos de la répétition :
Un peu de repos pour les interprètes et beaucoup d'eau à boire....
Justine Berthillot :
Aurélie Moulhade :
Javier Varela, acrobate et danseur...
Tatanka Gombaud :
Frédéric Cellé, dans ce nouveau spectacle, veut, avec le thème de la chute, évoquer la peur...
Toutes les peurs : la peur de soi, des autres, du monde, la peur de tomber en plongeant dans une piscine, mais aussi la peur de plonger dans l'inconnu...toutes les peurs qui sont finalement des forces motrices de tout être humain !
Nous pourrons voir ce superbe spectacle de danse en janvier prochain au Théâtre Gaston Bernard.
Merci à Catherine Miraton d'avoir pu nous permettre d'en voir des extraits, qui nous ont mis l'eau à la bouche, vivement janvier !
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